Articles répertoriés pour
utopie
La ville utopique sur le divan
À l’initiative de Raumlabor, Le colloque « Lotville Now ! » invitait à la discussion des personnalités aussi différentes que Renée Gailhoustet, Sébastien Martinez Barat et Hans-Walter Müller.
Le 50 feet Fly’s Eye Dome de Richard Buckminster Fuller
Le dôme géodésique est chez Buckminster Fuller davantage qu’un exercice d’ingénierie de haute voltige, il est un mode de vie, une expression élégante de la soif d’indépendance et de liberté de son créateur. Structure autoporteuse, économie de matériaux (“doing more with less”), solidité, simplicité d’assemblage, résilience… Le dôme est la quintessence-même de l’abri.
Miroirs de la ville #14 Rétro-futur ! Demain s’est déjà produit
Le rétro-futurisme écrit une histoire contrefactuelle, une uchronie paradoxale. Par leur jeu de «flashforward», d’anticipation rétrospective, les avant-gardes futuristes façonnent notre présent, lequel en vient à se confondre avec l’imaginaire de la science-fiction…
Le lendemain de la veille urbaine #32: l’urbanisme unitaire
La non-géométrie ouverte, non fonctionnaliste, et si possible impermanente d’une architecture opposée aux systèmes plastiques fermés s’est développée dans les utopies des années 1960-1970. Le compas et l’équerre laissent place à l’imaginaire topologique.
Le lendemain de la veille urbaine #29: l’air
Le voile vaporeux de protection d’un chantier fait figure de structure minimale et en même temps continue. De même, le tracé lumineux des processions nocturnes des avions à réacteur dans un air devenu dense pourrait être la première tension architecturale de notre ciel étoilé.
Le lendemain de la veille urbaine #28: la friche
Peut-être que l’ère de l’architecture monde ouverte avec un Le Corbusier chevauchant en avion les fuseaux horaires est-elle amenée en définitive à se refermer, en silence, dans les friches fuyantes de la banlieue. Il faut prendre le risque de cette dissolution sans promesse.
Le lendemain de la veille urbaine #19: la métaphore
Oui, «lever le paillasson», pas simplement en désignant virtuellement du réel à explorer, mais plutôt en inventant une nouvelle «surface», comme métaphore de mon quotidien urbain. Tel est le pouvoir de la fable.